L’histoire de Choos’in est l’extention de ma propre histoire...
Géraldine Ivaldi, Fondatrice
Je vous raconte…
Derrière une entreprise, il y a toujours une histoire liée à un être humain et à sa propre histoire. De là naissent les idées, les envies, les actions, les premiers succès ; puis arrivent les doutes, les angoisses, les peurs, les premiers échecs... Il y a heureusement des victoires, des rires et des fou rires ; on fait un pas en avant, puis un pas en arrière… c’est dur et exaltant à la fois. Mais « les entreprises qui réussissent sont celles qui ont une âme » - Jean-Louis Brault.
Il m’a fallu 35 ans pour enfin franchir le cap, décider de réaliser et de me réaliser !
La Fondatrice
"Hello, moi c’est Géraldine, bas-alpine d’origine, niçoise d’adoption, je suis la fondatrice de Choos’in : une marque de maillots de bain sportifs et engagés !
Au fil de mes activités et de mes voyages, j’ai réalisé qu’en France, nous étions pauvres en jolis maillots de bain sportifs, de type brassières. Frustrée de ne pas trouver de maillots réellement adaptés à la pratique de l’un de mes sports favoris, le kitesurf, j’ai eu envie de créer mes propres maillots et je me suis lancée dans l'aventure.
Je suis une optimiste indéfectible, pleine d’énergie et de détermination, je connais le potentiel de Choos’in et je dépense toute mon énergie pour assurer son succès."
Géraldine Ivaldi
L’histoire de Choos’in est l’extention de ma propre histoire.
Je vous raconte...
Géraldine Ivaldi, Fondatrice
Derrière une entreprise, il y a toujours une histoire liée à un être humain et à sa propre histoire. De là naissent les idées, les envies, les actions, les premiers succès ; puis arrivent les doutes, les angoisses, les peurs, les premiers échecs... Il y a heureusement des victoires, des rires et des fou rires ; on fait un pas en avant, puis un pas en arrière… c’est dur et exaltant à la fois. Mais « les entreprises qui réussissent sont celles qui ont une âme » - Jean-Louis Brault.
Il m’a fallu 35 ans pour enfin franchir le cap, décider de réaliser et de me réaliser !
"Chaque fois que vous voyez une entreprise qui réussit, dites-vous que c’est parce qu’un jour quelqu’un a pris une décision."
Peter Drucker
Après 11 années passées à travailler en tant que salariée, dont 9 années dans la même entreprise, j’ai décidé d’arrêter. J’ai enfin « décidé » de ce qui était bon pour moi.
« Décider » est déjà une grande victoire pour moi. « Choisir », « trancher », un acte si banal pour la plupart des gens mais tellement difficile pour la Balance que je suis, pour qui il est déjà extrêmement compliqué de choisir entre un pull bleu et un pull gris… et qui finit par acheter les deux, avant de finalement en ramener un à la boutique le lendemain.
Décider, faire un choix, c’est forcément renoncer.
Je n’avais jamais vraiment fait de choix auparavant dans ma vie... Une succession d’opportunités a construit mon parcours, ma carrière, sans que jamais je ne prenne une vraie décision avec conviction, après y avoir réfléchi moi-même. Je n’ai jamais vraiment aimé ce que je faisais, jamais je n’ai été passionnée par mon travail.
Je pensais toujours à l’après travail, à la fin de la journée où je partais le plus tôt possible à mon cours de danse, en priant le ciel pour qu’il n’y ait pas de réunion de dernière minute, ou de ralentissement dans le métro et que je puisse arriver à l’heure. A l’inverse, lorsque je me rendais à un rendez-vous professionnel je me disais tranquillement : « s’il y a un problème de métro, ce n’est pas bien grave, ce n’est pas de ma faute, je m’excuserai et puis voilà :) ».
J’ai quitté mon job fin 2017 et je ne regrette absolument pas mon choix.
J’ai pourtant dû renoncer à des conditions de travail extrêmement favorables qui me permettaient de vivre confortablement et de faire beaucoup de choses niveau personnel, notamment voyager.
De la même manière, pendant mes 6 années d’études, je n’ai jamais réellement « choisi », « décidé » de mon orientation. Je voulais suivre une filière scientifique, non pas par conviction, mais simplement pour m’ouvrir un maximum de portes car je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire (enfin si, au fond de moi je le savais) mais les maths, la physique et la chimie ont eu raison de moi, et comme redoubler était inconcevable (rester une année de plus à l’école, surtout pas !), j’ai changé de filière pour avancer au plus vite.
Le BAC, un BTS, une licence, puis une école de commerce (la seule qui ait bien voulu de moi). J’ai fait des études sans vraiment savoir quoi faire après, j’ai accumulé les diplômes, ce qui au fond n’est pas une mauvaise chose. Puis j’ai dû trouver un job à la fin de mes études. Et là, hop, une opportunité de stage à Paris, qui s’est transformé en CDD, parfait ; aucun choix à faire, si ce n’est celui d’aller travailler et vivre à Paris, le rêve quand on a 23 ans ! Puis à la fin de mon CDD, un des fournisseurs avec lequel je travaillais recrutait, et hop, allez, pourquoi pas ? (de toute façon, que faire d’autre ?!).
Et voilà que 11 années sont se sont écoulées à vitesse grand V.
"Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie."
Confucius
Mais ce n’est pas toujours aussi simple...
Allier passion et travail, c’est notre rêve à tous. J’ai rêvé de devenir « Dame de cirque » (mon métier à moi, un pur fruit de mon imagination), je disais ça quand j’étais enfant J… ça englobait tous les métiers du cirque, c’était mon rêve de petite fille : danseuse, chanteuse, jouer la comédie... je voulais être artiste !
Mais si c’était si simple, nous serions toutes et tous heureux chaque jour de notre vie dans notre travail. Mais on est parfois obligé de faire des choix, de prendre des décisions à contre cœur parce que tout n’est pas aussi simple que dans nos rêves. Parce que l’on a peur, peur de l’échec, peur de se retrouver en galère financière dans un monde où l’argent est absolument nécessaire pour rester libre, pour vivre et se faire plaisir. Alors on fait des choix, pas toujours les bons. On écoute les conseils des adultes, de ses parents, qui veulent pour nous le meilleur et la sécurité.
"Réduire le risque devient dangereux quand cela nous dissuade d’en prendre."
Philippe Bloch.
Il est très difficile de croire en son potentiel créatif, d’avoir pleinement conscience de ses capacités d’entreprendre, car on vit dans un monde où le risque est tabou, où l’on entend en permanence des choses telles que : fais attention, sois prudent, ne prends pas de risque, assure tes arrières, tu verras ça ne marchera pas… et j’en passe. Du coup, on en arrive à espérer qu’il ne nous arrive rien ; la peur prend le dessus sur l’audace et on renonce à faire ce que l’on aime et à prendre des « risques », même mesurés.
J’ai lu le livre de Philippe Bloch – Ne me dites plus jamais bon courage ! – il m’a permis de prendre conscience d’un certain nombre de situations dans lesquelles je me trouvais, et d’envisager le changement, qui devenait absolument nécessaire pour moi.
J’ai décidé aujourd’hui de prendre des risques, toutefois mesurés… de vivre ma vie comme je l’entends, de faire ce que j’aime, de travailler pour moi comme bon me semble, de monter ma première entreprise, et je pense que rien n’est impossible quand on s’en donne les moyens.
A minima essayer pour ne pas regretter !